forum type réalité alternative mettant en lumière une MONARCHIE FICTIVE MODERNE située dans une corée réunifiée. rejoignez-nous à hanseong, princesse, ancien noble, majordome, rebelle démocrate ou simple citoyen en paix, où amours, complots, réputation, alliance et trahison entrent dans votre existence.
kdc ferme ses portes, mais reste accessible aux membres. la dernière maj de janvier 2022 est signée childish. encore une fois les loyalistes frappent avec les yecheon papers.childish nous offre la quatrième maj avec des couleurs festives pour attendre noël. khan johwan mène la troisième intrigue pour les loyalistes. la troisième maj violette et jaune est confectionée par childish. les démocrates mènent la deuxième intrigue avec une nuit de la culture et des rumeurs sur les royalistes. première maj automnale le 3 octobre 2021 réalisée par childish. la première intrigue met en scène l'attentat qui avait pour cible le roi. ouverture le 03 septembre 2021 avec un design signé childish.
Regard impérieux qui s’échoue sur l’enseigne avec nonchalance. C’est ici. Le sourire qui se tire sous ses lippes est narquois ; arrogant. Il réajuste une dernière fois sa tenue, s’accorde un coup d’œil dans le reflet de la porte vitrée avant de s’enfoncer dans le hall de l’établissement. Démarche assurée qui attise les curiosités ; voilà des employés dont il se serait bien passé. On le scrute sur le chemin qu'il emprunte, mais personne n’ose s’interposer. Le charisme possède bien des pouvoirs, dont celui de vous frayer un passage bien qu’il vous soit interdit en temps normal.
Son attention est finalement capturée par ta silhouette ; il pourrait presque te trouver mignon ainsi. Concentré, les sourcils froncés ; visiblement, ces chiffres t’inspirent une certaine contrariété. Il s’en amuse déjà [ombre d’un sourire en coin sous ses lèvres malicieuses]. Sans plus attendre, il s’avance vers toi sous les prunelles offusquées des employés de la grande enseigne ; s’imposer face à toi, fils du grand patron, il fallait oser. Et il a osé. Son ! Quel plaisir de vous revoir. Il prend place sur le siège qui te fait face [réservé à tes clients] La posture est irréprochable, la tenue immaculée. En tout point, il semble être quelqu’un qui a de l’importance ; plus qu’il n’en a réellement.
Pourtant, il sait qu’ici, en cet instant même, il en a énormément. Face à toi, il détient le pouvoir ; la clé de ta chute. Tout ton univers pourrait s’effondrer s’il en faisait sa volonté. Il feint l’innocence pourtant lorsque ton attention se porte sur lui ; comme si de rien n’était. Le dossier qui croule entre ses pattes porte le lourd poids de la culpabilité à sa place ; à vrai dire, Jun ne sent jamais coupable de rien. Actes assumés, à demi confessés, on n’est jamais trop sûr de ce qu’il peut réellement accomplir, mais il est toujours bon de savoir qu’il vaut mieux s’en méfier. Désolé, je vous coupe dans votre travail, mais je suis un homme pressé. Vous me connaissez... Subtilité dans le choix des mots qui devrait t’inquiéter ; il tient du lourd. Du très lourd. Du coup, pour vous éviter de perdre trop de temps, j’ai déjà réuni toutes les pièces qui pourraient vous être utiles. Je ne fais plus confiance à mon comptable, j’aimerais que vous repreniez le dossier. Délicatesse dans ce geste qui pousse les documents vers toi ; invitation indélicate à parcourir les pages du Luna [et plus encore]
Sourire intemporel sur les traits de son visage trop doux pour la cruauté de son geste [blackmail] les photos de toi éparpillées entre les pages. Menace explicite qu’il glisse dans un silence glacial ; Jun n’est pas un homme bon ; c’est un homme d’affaires.
again and again. les dossiers qui s'accumulent sur le coin de son bureau, qui forment une montagne qu'il sait, éventuellement, se montrera impossible à gravir. mais ça ne le dérange pas. ça ne le dérange plus. parce que les heures supplémentaires, il a cessé de les compter depuis belle lurette. le travail sera à faire tôt ou tard, qu'il le veuille ou non. alors il s'enfonce dans la besogne, jian. il se laisse emporter par les chiffres, jusqu'à devoir fermer les yeux lorsque la migraine s'installe, vicieuse gangrène qui l'affaiblit, lui fait baisser sa garde, l'espace d'un instant.
juste assez pour être contrarié. erreur de calcul qui se glisse sur le tableau si blanc depuis le départ, qui vient faire foirer tous les efforts. les sourcils qui se froncent, comme s'il tentait de se concentrer, encore, et encore. comme si l'acharnement l'aiderait à trouver sa bévue plus rapidement. et pourtant il y a ces murmures qui s'élèvent. le brouhaha qui se fait distrayant, qui lui tire la tête de son dossier, pour mieux froncer les sourcils. what the...
les mots lui manquent, tout simplement. il a toujours eu de la réparti, jian. rarement on a pu lui clouer le bec. mais la présence du jeune homme face à lui n'est aucunement de bon présage. hwang. le plaisir est partagé. les mots sont sifflés entre ces lippes qui restent scellées, prunelles qui suivent les moindres faits et gestes de ce soit disant nouveau client. vous savez M. Hwang... je ne peux pas accepter le dossier de n'importe qui, je suis déjà surchargé...
les habiles qui glissent tout de même sur le dossier qui lui est remis. parce qu'il se fait un honneur de servir tous les clients qui entrent dans son cabinet, qui prennent le temps de le choisir lui, et pas n'importe qui. il y a pourtant ce teint qui pâlit lorsque qu'il tourne les premières pages pour faire face à son visage, à ces clichés pris à son insu, possiblement par celui qui se tient de l'autre côté de son bureau. ... mais il me fera plaisir de faire une exception pour vous. le sourire résigné qui martèle ses lippes, la main qui se tend pour formaliser l'entente. tout simplement parce que ce n'est pas l'endroit pour faire une scène. par contre, les tarifs sont plus salés pour les dossiers comme le vôtre, j'espère que vous en êtes conscient, M. Hwang? mots de nouveaux sifflés, pour lui faire comprendre qu'il ne se laisserait jamais marcher sur les pieds.
Touche d’amertume qui se dissimule sous tes lèvres exquises. Il s’en amuse d’avance, être perfide dont le sourire se fait plus moqueur à tes mots ; parce qu’à cet instant, tu penses avoir le choix. Tu penses naïvement qu’il est réellement à la recherche d’un service, alors qu’il te tient à sa merci. Pion sur l’échiquier. C’est tout ce que tu représentes à ses yeux et il ne cache pas son petit air malicieux lorsque ton visage change de couleur [livide]
Et il y a ce sentiment qui enfle dans sa poitrine ; créature nocturne qui se nourrit de tes craintes. Il apprécie le spectacle qui se livre sous son regard parce qu’il admire la chute de ton insouciance. Ne serait-il pas dommage de décevoir papa ? Désir fougueux de te susurrer ces atrocités au creux de ton être, d’enlacer ton corps de ses vils desseins pour souligner Ô combien il est passé maître de ton destin. Il doit se tenir pourtant ( ce n’est ni le lieu, ni le moment )
Il efface partiellement l’impertinence de ses traits, pour t’offrir son attitude la plus professionnelle qu’il soit. Une exception ? C’est vrai ? Merci beaucoup, M. Son. Après tout, il n’était pas n’importe qui. Tu l’avais toi-même dis ; à présent, il t’en donnait la preuve. Redoutable animal, pour arriver au sommet, il a dû en faire des sacrifices ( abandonner l’empathie ) pour contrôler son univers, il a appris à jouer avec ses propres règles. Miroir d’une liberté que chacun pense détenir et qu’il prend malin plaisir à briser ; maintenant qu’il t’a passé la corde au cou, que comptes-tu faire Son ?
Le rire est léger, accompagné d’un air purement innocent. Vous me connaissez... Il se penche sensiblement vers toi. L’argent n’a jamais été un souci pour moi. Il hausse les épaules avec nonchalance. Si je dois investir un peu plus chez vous, j’investirais moins bien ailleurs. Quitte à en payer le prix fort. Menace habillée d’une délicieuse angoisse. Il trouvera forcément un moyen de te rapprocher un peu plus de la disgrâce si tu t’amuses à le prendre pour un con. Je suis sûr qu’on trouvera un terrain d’entente. Faite votre job Son, je tâcherais de faire le mien. Ses doigts glissent sur ses lèvres en une ligne fine. Promesse de son silence, si tu coopères ( garantie d’un Enfer, si tu venais à le trahir )
c'est à ce moment qu'il se rend compte que ce ne sera jamais un dossier régulier. que le jeune qui se tient présentement devant son bureau n'est pas venu pour faire des affaires, mais bien pour s'assurer que ses affaires ne seraient jamais ébruitées. il ne lui était jamais venu à l'esprit de faire une telle chose. il n'avait qu'une envie, jian, et c'était de vivre sa vie comme il le voulait, sans avoir à se soucier de l'opinion des autres. mais le jeune homme était bien venu pour lui faire comprendre qu'il était celui qui détenait le pouvoir, main fermement serrée sur la laisse, [collier au cou], comme un chien que l'on dresse.
si l'argent n'est pas un problème, nous trouverons donc un terrain d'entente... menace déguisée qu'il décode dès les mots prononcés, n'osant prendre ses dires à la légère. il n'y avait que très rarement de zones grises en présence de Jun, que du blanc ou du noir. jamais il n'avait laissé le doute planer, même en restant vague et imprécis dans ses dires. vous pouvez compter sur moi m. hwang, n'ayez crainte... opales qui filent vers ses habiles, qui s'attardent un peu trop longuement sur les pulpeuses, (rieuses) au centre de ce faciès qui frôle l'insolence.
j'aurais quelques documents à vous faire signer avant que nous puissions conclure l'entente. si vous voulez bien me suivre. il ne lui laisse pas le temps de défiler, de s'éclipser aussi subtilement qu'il est arrivé. les habiles de l'aîné son s'emparent du dossier lorsqu'il quitte sa chaise, invitant le jeune homme à le suivre dans l'immensité du bureau. salle de conférence au fond du couloir, porte refermée, (semblant d'intimité). peux-tu me dire à quoi tu joues, Jun? le ton est ferme, les basses qui résonnent au creux de sa poitrine. dossier lancé sur la table ovale qui trône au centre de la pièce, clichés qui apparaissent, pointent le bout de leurs nez entre les pages immaculées. à ma connaissance, je n'ai rien fait qui mérite ce traitement... et peut-être est-ce la mémoire qui défaille, mais il n'a aucun souvenir de lui avoir fait du tort. et même si l'occasion se présentait, jamais il n'oserait. il n'avait pas l'envie de mourir si jeune.
Hochement de tête satisfait ; il sait qu’il a gagné. Il n’avait, de toute façon, jamais laissé place à une possible défaite. Jun n’était pas un perdant ( bien longtemps qu’il avait quitté ce camps ) il était devenu perfide avec les années, savait se montrer cruel quand cela était nécessaire. Il n’avait plus rien d’un humain ( créature sauvage hors de sa cage )
Dans ce cas, me voilà rassuré. Il sent ton regard qui s’échoue sur ses traits ; se demande bien ce que tu imagines lui faire subir pour cet affront. Dans tes rêves les plus fous, que fais-tu Son ? Il s’interroge ( curiosité déplacée ) qui s’oublie dans un soupir et s’efface dans cette invitation. Oui bien sûr. Il se lève doucement, s’élance sur tes talons d’une démarche trop assurée. Il est là pour vous écraser.
Il patiente – il sait que tu vas refermer cette porte et à l’instant même où la poignée quitte ta paume, le voilà qui s’installe fièrement sur la surface plane du grand bureau, nonchalance démesurée dans la posture qu’il aborde. Oh ? On se tutoie maintenant ? Taquinerie légère sur le bord de ses lèvres alors qu’il scrute le dossier abandonné. Careful here… Il ne faudrait pas égarer un élément du dossier, cela pourrait être gênant. De faux airs d’inquiétudes voilent son visage, maquille sa mascarade d’une moue presque adorable avant qu’il ne tombe le masque.
Tu penses que je cherche à te punir de quelque chose ? Le voilà surpris, il pensait au moins que tu te serais un peu méfié de lui. Je te confirme cependant que tu n’as jamais rien fait personnellement qui puisse t’attirer mes foudres, ça ? il pointe le dossier du doigt comme une évidence c’est que du business jian. Tu n’as pas à le prendre personnellement. Tu étais juste le prétexte idéal pour infiltrer mon établissement dans les bons papiers de la royauté, rien de plus. Cinglante vérité qu’il balance à tes pieds, pas pour te prouver qu’il a l’avantage, mais simplement parce que c’est Jun. Ombre sinistre qui doucement est en train de réduire la distance entre vos corps alors que ses doigts viennent courir le long de ta cravate. C’est fou ce que t’es sexy… et il agrippe le tissu pour t’attirer vers lui, spectre de ses lèvres survolant les tiennes. Si c’était pas une relation strictement professionnelle, je t’aurais probablement demandée de me faire perdre la raison, right here, right there. Confession qu’il abandonne à tes désirs, avant de prendre le large ; comme pour te rappeler qu’il n’y a que la distance entre vous. Retiens bien Son, qu’on n’a pas toujours ce qu’on mérite dans la vie. Elle est injuste et sans scrupule . Ce n’est pas une menace cette fois, simplement l’expression de sa douleur passée.
injustice. quelque chose qui lui puait au nez. cette façon que les gens avaient de jouer de leurs relations pour se montrer plus fort que les autres. pouvoir qui régnait en maître sur tout. certes, il en avait abusé également, jian. l'apparence et la réputation se devaient d'être sans taches. et jusqu'à présent, il possédait un tableau plus que parfait. ( jusqu'à ce que Jun ne vienne y apparaître ).
cet air nonchalant le dérange, léger claquement de langue pour montrer son irritation. ses bras se croisent sur son torse et il le toise, ( le défi presque du regard ). il sait pourtant qu'il ne fait pas de taille face au jeune homme. pourquoi veut-il tant avoir raison, alors? je n'ai pas à le prendre personnellement? alors dis moi pourquoi il te faut un aussi gros morceau pour entrer dans les bons papiers de la royauté, comme tu dis? tu avais simplement à demander. parce qu'il aurait dit oui. sans même y penser deux fois. sans menace ni manigance. parce qu'il était de bonne foi jian. jamais il n'aurait laissé passer un dossier comme le sien, même en ayant trop de travail. le souffle se fait éparse lorsque la silhouette se rapproche, que les habiles glissent sur la cravate qui orne son torse. ( lorsque ses lippes frolent les siennes ), caresse douce-amère. éphémère, lorsqu'il se rétracte aussitôt, ne lui laissant pas le loisir de glisser ses mains sur sa peau. personne n'a dit que je méritais quoi que ce soit. le murmure est bas, les mains s'affairent à relever les manches de sa chemise, à relâcher un peu cette cravate qui lui semble un peu plus serrée. je sais bien que les bagnoles et la course automobile c'est ton truc, mais pourquoi il faut systématiquement que tu prennes la fuite? et la main qui attrape la ceinture du jeune homme face à lui, le tire pour réduire la distance à de minces millimètres. i've got all my time for you. mine de rien ce n'est pas qu'un petit dossier que tu viens de me confier... l'audace, celle de le retenir, jusqu'à sentir vos souffles ne faire qu'un. la tension est palpable, elle l'a presque toujours été, malgré sa nonchalance. ce n'était pas la première fois que vous vous rencontriez. ce ne saurait probablement pas la dernière.
mais ça ne saurait durer. tôt ou tard, il fera ce qu'il sait le mieux faire. s'éclipser.
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Regard impérieux qui s’échoue sur l’enseigne avec nonchalance. C’est ici. Le sourire qui se tire sous ses lippes est narquois ; arrogant. Il réajuste une dernière fois sa tenue, s’accorde un coup d’œil dans le reflet de la porte vitrée avant de s’enfoncer dans le hall de l’établissement. Démarche assurée qui attise les curiosités ; voilà des employés dont il se serait bien passé. On le scrute sur le chemin qu'il emprunte, mais personne n’ose s’interposer. Le charisme possède bien des pouvoirs, dont celui de vous frayer un passage bien qu’il vous soit interdit en temps normal.
again and again. les dossiers qui s'accumulent sur le coin de son bureau, qui forment une montagne qu'il sait, éventuellement, se montrera impossible à gravir. mais ça ne le dérange pas. ça ne le dérange plus. parce que les heures supplémentaires, il a cessé de les compter depuis belle lurette. le travail sera à faire tôt ou tard, qu'il le veuille ou non. alors il s'enfonce dans la besogne, jian. il se laisse emporter par les chiffres, jusqu'à devoir fermer les yeux lorsque la migraine s'installe, vicieuse gangrène qui l'affaiblit, lui fait baisser sa garde, l'espace d'un instant.