forum type réalité alternative mettant en lumière une MONARCHIE FICTIVE MODERNE située dans une corée réunifiée. rejoignez-nous à hanseong, princesse, ancien noble, majordome, rebelle démocrate ou simple citoyen en paix, où amours, complots, réputation, alliance et trahison entrent dans votre existence.
kdc ferme ses portes, mais reste accessible aux membres. la dernière maj de janvier 2022 est signée childish. encore une fois les loyalistes frappent avec les yecheon papers.childish nous offre la quatrième maj avec des couleurs festives pour attendre noël. khan johwan mène la troisième intrigue pour les loyalistes. la troisième maj violette et jaune est confectionée par childish. les démocrates mènent la deuxième intrigue avec une nuit de la culture et des rumeurs sur les royalistes. première maj automnale le 3 octobre 2021 réalisée par childish. la première intrigue met en scène l'attentat qui avait pour cible le roi. ouverture le 03 septembre 2021 avec un design signé childish.
I cannot exist without you – I am forgetful of every thing but seeing you again – my Life seems to stop there – I see no further feat. @khan yesun (outfit)
soleil brûlant, larmes qu’il ravale, tout peut s’oublier. pas de malentendu, pas de temps perdu. il avait suffit dans cette chambre beaucoup trop grande, de laisser tout derrière lui. c'était un moment de lucidité, il se disait ça, c’était la bonne décision à prendre et il en a pris si peu dans sa vie. du moment où ils se sont trop rapprochés, que sa voix trop sèche a pu franchir ses lèvres, « we shouldn’t do this » et qu’il s’attendait que le prince, si doux, si proche, n'accepte pas. il aurait voulu qu’il lui dise qu’il était stupide, ça il l’était, qu’il ne peut pas assumer toutes ses paroles, toutes les fois où il a flirté avec les limites, tout ça pour conseiller, demander, ordonner, de faire demi-tour. saem pouvait le voir dans ses yeux, ça allait mal finir, autant ne rien commencer. il aurait voulu qu'il le retienne, qu'il l'empêche de s’excuser, de fermer la porte précautionneusement, de partir, mais tout était dans sa tête. tout les scénarios s’emballaient, la bobine du film finissait par terre avec son coeur, écrasé. c'est pas censé faire mal, rien n’avait commencé. à quoi est-ce qu'il s’attendait ? qu’est-ce qu'il voulait ? il est assez grand pour se dire que ce n’est qu’une obsession, ce n’est pas réel. c’était voué à l’échec, il ne faut plus y penser, il faut tourner la page. tout ça était pour rire après tout, et qu'est-ce qu'il rigole dans son lit, impossible à dormir. et s’il s’était laissé à rêver, s’ils ne s'étaient pas arrêtés, quel goût aurait ses lèvres, qu’est-ce que ça ferait d’être entre ses bras, qu’est-ce que ça ferait d’être aimé par lui. non, il n’a pas le droit d’effleurer le coeur du bonheur. c’est étrange, saem qui ne s’est jamais défini par ses différences mais qui le ressent de plus en plus à travers les distances. yesun mérite mieux que d’être entraîné par un gamin insolent. il ne mérite pas les tourments qui viendraient forcément, il ne mérite pas parce qu'au bout d'un moment il se lassera, il trouvera plus intéressant. il mérite mieux que quelqu’un qui pourrait ne plus rien être que pour lui, qui pourrait devenir l’ombre de son ombre si seulement il le voulait, qui déteste les ordres mais qui ferait de lui sa religion. ils avaient été des étrangers, ils peuvent le redevenir. il croit aux mensonges pour s’endormir mais il le revoit la nuit, et il ne sait pas si c’est un rêve ou un cauchemar. alors saem attrape sa guitare et essaye de ne pas se rappeler, et quand on lui demande aux répétitions, il ne dit juste que tout va bien. tout va forcément bien. il essaye de ne pas se rattacher à la possibilité qu’ils puissent au moins être ami malgré tout, ça ne sert à rien. enlever les bandages, toujours d'un coup sec. il commence à s’énerver quand on lui redemande si ça va, et c’est le moment où ils arrêtent de poser plus de questions, parce qu’ils savent que ça va se retourner contre eux, mais il se déteste d’agir ainsi. ça va aller. ils jouent en fin de semaine, toujours le même bar. les habitudes permettent de se remettre, continuer à avancer en faisant semblant que rien n’a changé. s'il n’arrive pas à faire semblant face à ceux qui le connaisse le mieux, saem arrive à être quelqu’un d’autre sur scène : il en a besoin. le jeune homme veut arrêter, tout, le monde, les respirations, les pensées, les prières, il veut l’amour des inconnus puisque c’est tout ce qu'il aura. il chante mieux, il donne son âme au parquet du club et aux étourdis, il se dit qu'il devrait avoir plus souvent le coeur brisé, mais non bien sûr que non il n’est pas brisé, tout va bien. la fin est trop brutale pour le chanteur, qui ne veut pas revenir à lui-même, ou des cendres de lui-même. mais il faut quitter les lieux, au moins jusqu’au prochain verre. saem s’étale sur le canapé des loges, toujours le même canapé. il regarde le plafond, ne peut pas se décider de feindre un intérêt aux discussions des autres, hésite à rentrer directement. et quand son regard décide d’aller vers la porte, il ne s'attend pas à voir l’objet de ses tourments. prêt à se jeter dans la gueule du loup. « what are you doing here ? »
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il n’a pas envie d’être là, tapi au fond de la salle loin des corps en effervescence, loin de la débauche adolescente, des enceintes assourdissantes. les yeux divaguent parfois sur saem noyé dans son élément, la voix presque abimée à force de trop chanter, le front luisant et les cheveux mouillés…ses doigts s’emmêlent entre eux, se démêlent, les ongles s’enfoncent dans la peau. yeji danse au loin, il la maudit de l'avoir traîné jusqu’ici ( se maudit lui-même d'en avoir eu envie, d’avoir à peine feint l’agacement alors qu'elle le tirait par le bras ). il ne devrait pas être là (pour tellement de raisons) le danger saem les deux vont de paire. et la musique cogne contre ses tympans encore sensibles, il grimace, veut partir. mais saem est sur la scène et yeji se retourne pour lui sourire, alors il reste. et lorsque la musique redescend, que les gens sortent doucement, que d’autres restent traîner dans la fosse, yesun se faufile (tête baissée, masque sur le nez). yeji lui glisse entre les doigts ; il aime sa soeur mais déteste minseo et ses amies qui rient à tue-tête et s’en vont sans l’entraîner avec elles. ses pieds traînent jusqu’à l’arrière-scène, puis dans les backstages - loin des loges de rockstars, long couloir blanc et mal entretenu…il reconnait les membres du groupe qui sortent d’une salle, baisse la tête en s’attendant à entendre le rire strident du chanteur. mais rien. il ne se mélange pas aux autres, il ne reconnait pas sa voix faire une mauvaise blague, n’aperçoit pas sa silhouette avancer près de lui. et lorsqu’ils l’ont passé, il se retourne furtivement pour être sûr, les observe s’éloigner au loin avant de doucement s’approcher de la porte…la main reste figée sur la poignée, il hésite longtemps avant de la pousser. et lorsqu’il tombe nez à nez face à lui, il reste bloqué. grands yeux de biches rivés sur les siens, il n’ose pas les baisser. presque un mois que la communication est rompue. yesun a tenté d’envoyer un message banal, faire comme si rien ne s’était passé…l’absence de réponse fut en elle-même une réponse. il n’a plus essayé. et il voulait parfois l’appeler, lui parler, juste pour lui dire qu’il s’est fait de fausses idées. et puis, il va bientôt se fiancer. le son de sa voix le ramène à la réalité…il baisse la tête, se racle la gorge. « i- um… » collect yourself. « i’m sorry. i got lost…i shouldn’t be here. » non, il ne devrait pas être là, déteste être là, ne sait pas pourquoi il continue de se forcer. peut-être l’espoir d’un jour réellement apprécier, d'enfin comprendre yeji et yebin. mais il se sent ridicule dans sa tenue, avec sa perruque mal placée au sommet de son crâne, son bonnet ringard. out of place. « i don’t know why i came here. i should go. » alors pourquoi reste-il planté là ?
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il s’engouffre dans le canapé, il aimerait se noyer entre les coussins abîmés et disparaître. s’il regarde bien derrière, il pourrait y retrouver ses espoirs perdus, les rattraper avant qu’ils ne sombrent à nouveau. il y a bien trop de négativité entre eux dans leurs derniers mots échangés. il n’aime pas ça, ça lui donne l’impression d’attirer les mauvais esprits, mauvais présages. pourtant, il n’a pas envie d’arranger ça, saem a envie de s’énerver contre lui, de lui demander s’il ne comprend pas les signaux envoyés tout ce temps. on a bien dû lui apprendre entre deux cours sur l’étiquette que si quelqu’un ne répondait pas, c’est qu’il ne voulait pas le voir. il se lève en l’entendant dire qu’il allait partir, c’est plus fort que lui, c’est instinctif. il veut attraper un peu plus de bout de lui avant de lui dire au revoir, les garder précieusement dans la boîte à souvenir de ce qu’il aurait pu avoir avant de tout gâcher. « no, stay » sans formule de politesse, implorant silencieusement tout les dieux et plus encore. regard jeté sur la pièce, ce n’est pas l’endroit parfait pour un prince, il devra faire avec. il y a un souffle bloqué dans sa poitrine qu’il ne réalise pas retenir, « did yeji bring you here ? » ou as-tu voulu venir de tes propres moyens pour me voir ?
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il pourrait faire marche arrière, se retourner et partir sans un mot, mais ce serait contre tout ce qu’on lui a inculqué ; tourner le dos aux gens, paraître mal poli, couper la parole ou ne pas répondre, ce n’est pas princier. l’envie de rester, celle de partir. saem lui demande, l’ordonne de ne pas tourner les talons et yesun obéit malgré lui. il gratte sa tête à travers son bonnet, foutue perruque qui l’étouffe et l’empêche d’être à l’aise — ou bien n’est-ce que la gêne qui l’empêche de rester immobile. « yes, she did. » il s’abstient de lui dire qu’il lui a lui-même demandé où elle sortait en sachant pertinemment qu’elle prendrait ça pour une invitation. « she left with her friends, i was looking for her. did you see her ? » et il s’abstient encore de lui dire qu’il savait exactement dans quelle direction elle s’était faufilée, qu’il l’avait regardé disparaître avant d’arriver jusqu’ici. le silence le torture lentement. la gêne le ronge — il sent sa peau brûler jusqu’aux oreilles. GET YOURSELF TOGETHER. « um, cool concert by the way. still not really my style but you guys are really talented. » il comble le silence avec de la politesse et des conversations futiles, inutiles. tout pour ne pas avoir à parler des sujets qui le font trembler.
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« oh » il ne cache pas sa déception saem, trop honnête pour son propre bien, ça ne lui rapporterait rien de toute façon de faire semblant. ébranlant sa confiance de ses paroles qui continuent, peut-être s’est-il juste réellement trompé de porte. « no, i haven’t » ce qui est étonnant, parce qu’elle adore passer dans les coulisses, montrer qu’elle connait quelqu’un par ici et se montrer au passage, n’hésitant pas à faire du bruit tout le long. ça ne sera pas non plus la première fois qu’elle se fait emporter dans d’autre soirée sans lui dire au revoir, juste pour lui laisser ensuite un sms lui disant qu’elle a adoré le concert et que c’était dommage de ne pas se voir. il peut déjà la voir taper sur son clavier. il croise les bras. il se demande sur quel sentiers cette conversation va les mener. ils pourraient être amis finalement, avec beaucoup d’effort et peu de réconfort. et se faire mal, dans les regards qui voudraient plus mais qui ne doivent se satisfaire que du désespoir, de l’écart qui se creuse entre leur peau. « thanks » l’habitude d’enchaîner, oubliant presque le malaise présent juste un instant « soon it’s gonna be your style you know, if you come back enough » invitation à revenir cristallisée entre deux respirations, sourire en coin. ce n’est pas ce qu’il voudrait lui dire, ni revenir à cette image plus fausse qu’il n’y parait, mais c’est ce qu’il arrive à dire pour le moment.
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« oh…that’s odd. i could bet she was here. » il se demande pourquoi elle n’est pas venue, qui sont ces filles avec qui elle semble si proche, et pourquoi elle est partie sans l’embarquer. peut-être qu’au final, tout ça était calculé, peut-être qu’elle savait ce qu’il avait derrière la tête, télépathie. il la maudit et la bénit en même temps. il ose enfin regarder saem plus d’une fraction de seconde et son coeur part en chute libre. pourquoi rend-t-il les choses si difficiles ? est-il seulement conscient de son aura ? il l’envie, parfois. il envie sa beauté, son insouciance, son aisance…le charisme qu’il renvoie, la facilité avec laquelle il tisse des liens et s’implante partout où il passe. sa liberté. un faible sourire étire ses lèvres, il baisse les yeux un instant, joue avec ses doigts. le regard fuit. puis bientôt lui. « i don’t think i’ll come back. i don’t think i should. » double sens dont lui-même n’est pas sûr. il ne devrait pas revenir, parce qu’il ne doit plus le voir ( c’est trop risqué pour son coeur ). parce que ce n’est pas sécurisé. parce qu’un prince n’a rien à faire ici. « so maybe it is the last time we see each other. »
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« well, you know her, she’s always everywhere » un peu comme lui, raison pour laquelle ils s’entendent si bien, ils arrivent à se retrouver aux mêmes endroits et partout à la fois. ce serait fatiguant que d’être trop prévisible. il hausse les épaules, aimerait lui dire qu’il devrait savoir mieux que lui, c’est sa jumelle après tout. le choc de la révélation s’effaçant face à l’idée de ne plus la revoir, il a dû accepter que c’était la même personne après tout. le monde est petit. alors lui qui est pourtant si facilement prêt à tourner les talons, qui c’était fait à cette idée pendant tout ce temps, plus il réfléchit, moins il n’y arrive lorsque yesun lui dit qu’ils ne devraient pas se revoir. ça ne serait pas réalisable finalement, après tout, si minseo continue de le forcer à venir. est-ce qu’il devrait accepter ? est-ce que yesun est venu spécialement pour lui dire ceci ? mais pourquoi ? c’était saem qui avait dit en premier qu’ils ne devraient pas. est-ce qu’il veut le dernier mot dans le point final de leur relation ? trop de questions s’enchaînent dans sa tête, il ne sait plus ce qu’il veut. il a passé trop de temps à s’en vouloir. de quitter avant même avoir commencer. maintenant qu’il l’a en face, il le sait qu’il n’arrivera pas à refuser une seconde fois « why ? » saem s’avance doucement, « why should it be the last time ? » s’il te plait, reste plus longtemps alors, puisque je n’arrive pas à te retenir et que toi non plus. restons dans cet entre-deux à tout jamais, faisons de ce lieu notre havre de paix. juste un instant de plus.
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pourquoi pourquoi pourquoi comment ose-t-il lui poser la question ? n’était-ce pas lui qui l’avait rejeté ? clamant que c’était une mauvaise idée, qu’ils ne devraient pas. ils ne devraient pas, alors ils ne font pas. c’était pourtant ce qu’il voulait. et yejun se souvient s’être senti bête. bête d’avoir eu le coeur qui bat trop vite, les joues trop chaudes, le ventre retourné. bête d’avoir osé rêver sentir ses lèvres juste un instant, les goûter. ça doit être la dernière fois, parce qu’ils ne sont pas du même monde, parce que de toute façon, saem est trop pour lui et le conduira à sa perte. il s’avance. yesun aimerait reculer mais les pieds restent collés sur le carrelage froid. il l’observe quelques secondes, le dos droit, les traits durs. « because i don’t think that’s a good idea. » toujours l’incertitude. je ne pense pas, je ne sais pas. « i told you many times already. i tried, but i'm just...not made for this. going out, partying. i’m not like my sisters. » et il aurait aimé les comprendre et les accompagner, yebin et yeji. il n’y arrive pas. il se dit que s’il était un peu plus comme elles, alors peut-être que saem ne l’aurait pas repoussé. « and i’m getting engaged soon. » le dire à voix haute n’est jamais facile, il la sent doucement flancher, murmurant presque à présent. une pause. inspiration. « so i should be more responsible now. »
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peut-être a-t-il besoin de l’entendre de vive voix de sa part pour que cela devienne réel. que s’il fait en sorte que ça devienne la décision de yesun et non plus sa décision, alors tout sera au mieux dans le meilleur des mondes. « you don’t have to be partying to see me you know. you don’t have to be like your sister -for me to like you » la fin lui échappe trop rapidement pour qu’il puisse la retenir, le prince pourra l’interpréter comme il voudra. saem n’est pas fait pour les non-dits. ça le ronge de l’intérieur, on a trop essayé de lui apprendre à faire semblant alors qu’il a besoin de crever l’abcès, d’un coup unique. « and what does that have to do with anything ? what if you’re getting engaged ? you can be responsible and we can be friends. we can» il aimerait y croire, se permet de le répéter. « what does being responsible mean anyways ? » il aurait envie de lui demander si c’était si mal que ça que de sortir à la plage avec lui, s’il croit que tout ses frères et soeurs parfaits n’ont jamais fait la même chose - pas yebin et yeji mais les autres. il est presque sûr que le prince héritier a ses propres secrets, alors pourquoi khan yesun devrait être plus parfait que le reste ?
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bien sûr yesun ne croit pas un mot de ce qu’il lui dit. il le sait, personne ne l’appréciera pour ce qu’il est, alors il doit s’adapter, se faire caméléon en se pliant à ce que les gens veulent de lui. au final, n’est-il pas venu au monde pour ça ? se tenir droit, acquiescer, sourire parfois, lorsqu’on le lui demande. saem finira bien vite lassé par les activités du prince ; lire dans le silence des heures durant, regarder des films peu intéressants, se promener sans savoir où aller. le chanteur a besoin de bouger, s’exprimer, dépenser l’énergie qui le fait vibrer trop fort. il n’aime pas la situation. déteste ressentir les décharges, les hauts le coeur parce qu’il ne peut pas tout lui dire, parce qu’il quittera cette pièce les épaules encore plus lourdes qu’en y entrant. et il ne peut pas blâmer saem pour ne pas comprendre. lui-même ne se comprend pas. il n’est tout simplement pas le genre de personne avec qui il devrait être ami, et malgré toute sa sincérité et son franc parlé, il ne peut pas se résigner à lui dire. « i am sorry. » pourquoi ? être ce qu’il est ? tout aurait été plus facile s’il n’était pas né khan. il le garde au fond de lui depuis des années. « i will be too busy, i won’t be able to do all the things i’m doing now. i’ll have to care for my wife and work harder. » une pause. il prend une nouvelle inspiration. déteste déjà ce qu’il va dire. « but it’s okay, i know you will get over it. we’re not even that close anyway, and you have many other friends. » plus importants que moi ( à qui tu réponds, au moins ), qui ne doivent pas rester cachés ni cacher qui ils sont.
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