forum type réalité alternative mettant en lumière une MONARCHIE FICTIVE MODERNE située dans une corée réunifiée. rejoignez-nous à hanseong, princesse, ancien noble, majordome, rebelle démocrate ou simple citoyen en paix, où amours, complots, réputation, alliance et trahison entrent dans votre existence.
kdc ferme ses portes, mais reste accessible aux membres. la dernière maj de janvier 2022 est signée childish. encore une fois les loyalistes frappent avec les yecheon papers.childish nous offre la quatrième maj avec des couleurs festives pour attendre noël. khan johwan mène la troisième intrigue pour les loyalistes. la troisième maj violette et jaune est confectionée par childish. les démocrates mènent la deuxième intrigue avec une nuit de la culture et des rumeurs sur les royalistes. première maj automnale le 3 octobre 2021 réalisée par childish. la première intrigue met en scène l'attentat qui avait pour cible le roi. ouverture le 03 septembre 2021 avec un design signé childish.
I cannot exist without you – I am forgetful of every thing but seeing you again – my Life seems to stop there – I see no further feat. @khan yesun (outfit)
il ne comprend pas. il le repousse pour les mauvaises raisons, et ça l’énerve. il a l’impression de discuter sur deux lignes parallèles qui ne devraient pas se rencontrer, grince des dents quand il entend parler de future fiancée, ça lui reste en travers de la gorge. « that’s bullshit » il dégage l’argument d’une main rageuse en l’air, aimerait le secouer pour qu’il revienne à lui-même « i don’t care about my other friends, i couldn’t even get over you and it’s been what, three weeks » saem a la voix d’enfant auquel on arrache un de ses jouets pour son bien, le même jouet qu’il a posé par terre pour le ranger plus tard. « i’m gonna say it since you don’t. we shouldn’t be together because you hate what you are when you’re with me. you’re free, and that scares you. and we shouldn’t because you’re gonna get tired of me at some point. i’m going to be too much, and annoying, and i won’t ask you to be patient with me, because nobody’s ever been patient with me » yesun qui devient le récipient de projections à son insu, il continue, s’emmêlant les pinceaux, « no one fucking cares. you’re just like my parents, you only think about having a family and looking right, but that’s not the point. the point is what you feel inside » et juste avant qu’il le laisse parler, « please. don’t lie to me »
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il voudrait lui dire d’arrêter de parler et de rendre les choses si compliquées. seulement partir et accepter. est-ce si difficile ? ou peut-être a-t-il tout simplement une personnalité. peut-être n’est-il pas du genre à simplement accepter sa destiné, et plus à se battre pour ce qu’il mérite. et puis la conversation devient trop ambiguë. il ne sait plus de quoi ils parlent réellement. il ne sait plus s’il est question d’amour ou d’amitié. « i have been pretty patient with you. i wouldn’t be here if i wasn’t. » sourire furtif. il n’aurait pas accepté d’aller sur la plage, ne l’aurait pas invité dans sa chambre ( lieu sacré ), n’aurait plus répondu à ses messages, ses appels. yesun commence à s’agacer. il aimerait que saem comprenne, mais il sait qu’au fond, lui-même ne fait pas d’efforts. peut-être que s’il ne se contentait pas de suivre la voie qu’on trace doucement pour lui, il n’en serait pas là. peut-être que s’il se forgeait un caractère, tout serait plus facile pour lui. « you don’t understand. i don’t have a choice. » mais il a le choix, celui de tout simplement refuser et continuer sa vie. il a le choix, et il a choisi la facilité, la sécurité. qui pourrait le blâmer ? « and i can’t expect you to understand anyway. not everyone can just…run away from their responsibilities. » il ne voulait pas dire ça, pas l’attaquer aussi subtilement. il regrette à la seconde même. « i didn’t mean it like that, i’m sorry. » il soupire. « but you said it yourself anyway. we shouldn’t be friends, and you're right. that’s just…bad. » mauvais pour lui, toxique, drainant. il le sait depuis la première fois qu’il a posé les yeux sur lui, cette fois où saem a commandé une vodka sans vodka avant de l’emmener dans l’inconnu. il s’était senti vivant pour la première fois. et s’il a besoin de saem pour ça, alors il n’est pas bon pour lui. logique bancale qui prend tout son sens dans sa tête. « don’t ask me why, it just is. » anticipant ses réactions, saem qui veut une réponse à tout, pose des questions auxquelles yesun ne peut (ne veut) pas répondre.
Avatar : mark lee Crédits : cha irl Âge : 22 yo job : prince Geum : 9400 Statut amoureux : presque fiancé. Aesthetic : xx Disclaimer : n/a Multicomptes : xx Pronoms : she / her Pseudo, prénom : cez Messages : 468 Inscription : 20/08/2021
Lee Saem staff ;; everybody wants to rule the world
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Am I Ulysses, am I Ulysses?
No, but you are now, boy?
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saem pourrait le blâmer. c’est facile de blâmer les autres, plutôt que de se blâmer soit-même. rire amer quand il dit que pas tout le monde peut fuir ses responsabilités, même s’il s’excuse à la seconde prêt c’est trop tard. « you don’t know what i’ve been through so don’t talk so easily like that » il passe une main dans ses cheveux, yesun ne quittera pas la pièce avant d’avoir compris, entendu son point de vue, quoi qu’il en coûte. « i didn’t exactly run away, they kicked me out. and i didn’t live paycheck to paycheck, sleeping where i could, eating when i could, for you to say that i think it’s easy. i can’t even contact my sisters for you to judge me like that. so yeah, i didn’t really had a choice in this either. » il n’aime pas parler de ça, ne recherche certainement pas sa pitié, mais il ne peut pas le laisser imaginer que saem est insouciant. il aimerait lui dire qu’il en sait plus sur les responsabilité qu’un prince qui n’a eut que sa vie à vivre, sans se soucier de problème d’argent, de trouver un travail, non, tout lui a été donné sur un plateau d’argent, d’or. pourtant, il n’arrive pas à le détester comme les autres, il n’arrive plus à se faire à l’idée. « then let’s not be friends. » il se rapproche juste un peu plus, aimerait le toucher mais se retient « forget everything i said, i can be whatever you want me to be. please »
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« i’m sorry. » nouvelles excuses. il devrait plus souvent tourner la langue dans sa bouche avant de parler. il est pourtant prudent, d’habitude, mais saem a l’habitude de lui faire baisser sa garde — c’est ça qui lui fait le plus peur. au fond, il ne le connait pas, il n’est que l’image qu’il se fait de lui et celle qu’il renvoie. il devrait pourtant se douter que sa vie n’est pas facile. et pourtant il ne se plaint pas, il encaisse, continue de sourire, garde ses airs extravertis. yesun ne peut rien faire d’autre que l’admirer et vouloir lui ressembler. il recule instinctivement alors que le chanteur s’approche. la phrase tourne en boucle dans son esprit embrumé. s’il seulement il savait, si seulement il pouvait lui dire ce qu’il voudrait qu’il soit. il l’emportera jusqu’à sa tombe, personne ne doit savoir. il soupire, se gratte la tête. foutue perruque. foutu accoutrement. il l’arrache, les cheveux noirs tombent sur son front. il n’a jamais été haru, ne le sera jamais. et quelqu’un pourrait entrer, mais il s’en fou. même là, il n’est pas yesun non plus. « don’t. » ne rend pas la chose plus difficile. « you don’t need to be anything but yourself. » il aime déjà ce qu’il est. il ne veut jamais qu’il change. il n’ose plus le regarder dans les yeux. baisse les siens sur ses doigts qui tiennent fermement la perruque blonde. « what do you want to be ? »
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c’est hypocrite de faire de grands monologue sur suivre son instinct et ce qu’il ressent pour ensuite vouloir décider que yesun serait mieux sans lui. alors il ne sera pas hypocrite, pas cette fois. sa liberté est devenu sienne. il regarde les cheveux blonds devenir noir, un peu plus lui. il ne veut pas qu’il regarde cette foutue perruque blonde, il veut qu’il le regarde lui uniquement. alors il prend doucement celle-ci dans ses mains pour la jeter ensuite sans délicatesse sur le canapé, à l’aveugle, puis ses mains viennent timidement relever son visage vers lui. il se sent mourir, il se sent vivre. à travers le coeur qui tambourine, les raz-de-marée de sentiments, les espoirs jetés à l’eau. « yours » qu’il ose dire, à voix haute, se surprenant lui-même de ne pas avoir perdu totalement sa voix. « yours, only yours »
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un sursaut discret lorsque la perruque est dérobée d’entre ses doigts, il la regarde voltiger sur le canapé puis ses yeux se reportent sur saem. la détresse fait briller ses pupilles ; l’envie ((le besoin)) de courir mais il reste planté là et le regarde, flashback d’il y a un mois alors que leurs visages n’osaient pas se frôler. saem appuie sur le détonateur — le coeur explose, les jambes tremblent, la gorge se serre. il n’a pas remarqué sa respiration coupée depuis quelques secondes jusqu’à que le besoin d’air se fasse ressentir. aucun son ne peut franchir le seuil des lèvres sèches, faire vibrer la pomme d’Adam, tétanisé sur place, jeune biche aveuglée par les phares d’une voiture qui débarque trop vite. et ce n’est plus vraiment yesun qui contrôle, pilote automatique. les lèvres qui s’écrasent contre celles de saem sans autorisation, qui cherchent, supplient, implorent toujours plus, maladroitement emmêlées…il le pousse, le force à reculer jusqu’au canapé, à côté de la perruque délaissée. plus rien n’a d’importance, maintenant, alors que ses mains le cherchent, touchent la peau dorée, ses joues, son cou, attrapent son t-shirt pour qu’il soit toujours plus près. et puis il revient à lui. planté devant saem, toujours là, à l’attente d’une réponse qui ne vient pas. les pensées secrètes mélangées aux paroles du chanteur ont rougies ses pommettes…il aimerait se cacher, partir loin, le laisser là. « i’m sorry. » qu’il ose enfin dire. « i’m not…i’m not… » il n’ose pas. yesun ne ment jamais. yesun ne ment jamais. (sa vie entière est déjà un mensonge). « i’m not what you want me to be. » tout le monde lui demande d’être quelqu’un qu’il n’est pas ; pourtant, lorsqu’on lui demande d’être lui-même, il ne peut pas. « i’m sorry saem. » il ne sait pas pourquoi sa voix tremble autant, espère qu’elle ne s’entend pas. « i should find yeji. she must be looking for me. i- » il se perd dans ses excuses, ses tentatives d’évasion. « g-goodbye. » et il sort sans même se cacher, prévenez tout le monde, le prince yesun se promène dans les couloirs du red lips sans personne pour le protéger.
Khan Yeji guillotine votre message
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il ne comprend pas. il le repousse pour les mauvaises raisons, et ça l’énerve. il a l’impression de discuter sur deux lignes parallèles qui ne devraient pas se rencontrer, grince des dents quand il entend parler de future fiancée, ça lui reste en travers de la gorge. « that’s bullshit » il dégage l’argument d’une main rageuse en l’air, aimerait le secouer pour qu’il revienne à lui-même « i don’t care about my other friends, i couldn’t even get over you and it’s been what, three weeks » saem a la voix d’enfant auquel on arrache un de ses jouets pour son bien, le même jouet qu’il a posé par terre pour le ranger plus tard. « i’m gonna say it since you don’t. we shouldn’t be together because you hate what you are when you’re with me. you’re free, and that scares you. and we shouldn’t because you’re gonna get tired of me at some point. i’m going to be too much, and annoying, and i won’t ask you to be patient with me, because nobody’s ever been patient with me » yesun qui devient le récipient de projections à son insu, il continue, s’emmêlant les pinceaux, « no one fucking cares. you’re just like my parents, you only think about having a family and looking right, but that’s not the point. the point is what you feel inside » et juste avant qu’il le laisse parler, « please. don’t lie to me » 
